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 Asani Ishii

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Asano Ishii

Asano Ishii


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MessageSujet: Asani Ishii   Asani Ishii Icon_minitimeLun 9 Juin - 1:31

Votre personnage


Nom: Ishii
Prénom: Asano
Age: 19 ans
Date de naissance: 15 Février
Sexe: Masculin
Orientation sexuelle: Bisexuel
Nationalité: Japonaise
Frères, Sœurs: [0] [0]
Taille: 1m70
Poids: 55 kg

Description du caractère et des goûts [10 lignes minimum]:
Asano Ishii. Soit un garçon sociable, qui aime sortir et faire la fête. Sa vie est un éclat de rire, un pied de nez au malheur des autres. Ou au moins, il essaie. Le jeune homme deteste se prendre au sérieux, au point qu'avoir une discussion avec lui est parfois difficile. Sa mine d'ange et son caractére sociable en fond une personne à la compagnie appréciée, en particulier dans son travail. Le probléme d'Asano, c'est que malgré l'affection sans borne qu'il est capable d'éprouver pour ses amis, il n'est encore jamais tombé amoureux ou quoi que ce soit qui y touche. Alors il se montre pragmatique en toute circonstance, avec cette touche d'humour qui fait toute la différence.
Au lycée, il cache son job de nuit. Pas qu'il en a honte, simplement que son travail et sa vie de petit lycéen tranquille ne regarde que lui. Si on demandait à ses camarades de classe, on obtiendrait le résumé de la vie d'un jeune homme de 19 ans sans histoires, qui s'amuse à chaque occasion tout en gardant un niveau scolaire respectable. Mais aucun renseignement sur ce qu'il fait en dehors des heures d'école. Personne n'est allé chez lui, pas même ses meilleurs amis.
Festif, secret et souriant.
Une bonne glace dans les rues, un après-midi dans des salles noires... Les choses les plus simples sont les meilleurs, et Asano expérimente chaque jour ce dicton. Prêt à tout pour simplement ne pas réfléchir, oublier qu'il existe un passé et un futur.
A ses yeux, pas de morale et pas d'éthique. La bassesse du genre humain n'est qu'un avis personnel, qui s'étend au point d'en devenir une horreur. Mais loin de l'idée d'éthique que l'on donne aux enfants dans les écoles. L'exemple le plus simple étant son incompréhension envers les hôpitaux: 9 milliards d'être humains sur la planéte dans moins d'un siècle, et tellement d'inutile sur terre. Un peu moins de légumes, de pères brutaux, de briseurs de rêves... On obtiendrait presque un milliard en moins...
L'éthique et la morale ne regarde que nous, en faire une affaire d'état est affligeant. Qui peut s'entendre avec tous sur ces sujets si personnels.

Description physique et vestimentaire [10 lignes minimum]:
Imaginez votre salon reconverti en dressing, et vous aurez une idée de la taille de celui de jeune Ishii. Un mélange de vétements classe qu'il affectionne pour son travail: le smoking classique, le jean taillé et la chemise dont le premier bouton n'atteint que le milieu de sa poitrine, les strass et les paillettes... En face, toute une armada de tenue de sport, allant du simple short au jogging de chez Prada. Parce que oui, Môssieur à les moyens. Le ridicule ne tue pas et heureusement, sinon la moitié de ses affaires serait responsable de son décés. En effet, le jeune homme s'amuse réguliérement, avec des clients habitués, à enfiler des tenues plus ou moins extravagante. Ou même pour s'amuser. Jetés sur le sol, quelques malheureuse jupes et des slims de femmes. Des sweat à capuche moulant et des baggys qui trainent dans un coin... Un minime aperçu de ce que le jeune homme a pour habitude de porter. En fait, avec sa taille fine, voire carrément trop mince, il n'a pas de grande difficulté à s'habiller, un grand nombre de chose lui vont. Il fait cependant attention à ce que ce qu'il porte ne fasse que souligner sa ligne, non pas l'accentuer. Changeant comme une girouette, il ne se ballade jamais sans au moins deux tenue radicalement différente et n'hésite pas à changer plusieurs fois dans une même journée.
Particulièrement soigneux de lui même, il passe chaque matin trois heures dans sa salle de bain. Inutile d'essayer de le presser pour une urgence, il vous claquera la porte au nez et retournera se pomponner. Pas de maquillage pour souligner son aspect androgyne, il n'est pas un travesti non plus, mais quelques crémes pour sa peau, et une touche de coqueterie qui lui arrive cependant peu souvent: des lentilles de couleurs. Ses yeux noirs finissant par être banals (de son avis), quelques changement s'impose à l'occasion. La couleur perle est celle qui lui convient le mieux.
Ey puis il y a ce corps, cet ignoble corps. Couvert de marques, d'echymoses. Ces blessures indélébiles qui lui barrent la peau. Une sur l'abdomen, sous le nombril, un autre dans le cou, partant d'au dessus de sa clavicule et remontant jusqu'à mi-cou. Quelques traces de sa faiblesse aussi, sur ses poignets. Ce n'est pas de la pudeur, s'il ne va pas à la piscine. Pas la honte. Le besoin de conserver son secret.
Son visage est épargné. Ou presque. Juste l'oeil gauche qui le fait souffrir. Il a plus de mal à l'ouvrir. La seule différence vraiment visible, c'est l'éclat translucide dans la noirceur de sa pupille.

Tant qu'il est en dehors de chez lui, personne ne verra Asano se relacher sur son physique. Extravaguant peut-être, mais certainement pas rebutant. Chez lui par contre... Loin des regards avides des autres, le jeune homme préférera des tenues plus décontractées, relévera ses cheveux chatains mi-long à l'aide d'elastique et de barettes et oubliera même d'appliquer ses petites lotions sur son magnifique visage. Pour autant, il n'oubliera pas de tremper deux heures durant dans son bain et d'ensuite passer encore une heure à s'occuper de se sécher les cheveux et les coiffer sans qu'ils fassent un pli. Apparence trompeuse, plastique factive.

Ce qui attire votre personnage [Pas de liste, essayez de faire des phrases. 5 lignes minimum]:
Asano et ses attirances. Les gens qui rient, les endroits où il y a du bruit. Un beau sourire et une proposition pour le dernier film qui vient de sortir au cinéma, une sortie en boite avec des amis. Un client poli qui l'admire plus qu'une cliente mangeuse d'hommes dans son genre. La simplicité de l'éclat de rire d'un enfant, les vannes stupides des lycéens, le compliment maladroit d'un nouveau venu.
Pour que le jeune homme ait envie de quelque chose ou quelqu'un, il ne faut vraiment pas grand-chose. De beaux yeux et de la bonne volonté, une sincérité touchante et une once d'arrogance.

Ce qui répugne votre personnage [5 lignes minimum]:
Son aversion pour les faibles. Il exécre à un point inimaginable toute ces mères indignes, ces pères brutaux, ces ivrognes et ces drogués. Il n'y a aucune compassion dans son coeur pour ces moins que rien qui ne savent pas se montrer responsable, qui ne savent pas tenir le rôle qu'on leur à attribué. Tout ces adultes qui se montrent indigne de vivre... Les pédophiles, les consomateurs de rêve... S'en prendre à plus faible que soit est impossible. Un homme qui bat un enfant n'est pas un faible qui bat un faible. C'est un faible qui bat l'innocence. Ce dégout des noirceurs de l'âme humaine, capable de ramper, de pleurnicher et de s'accrocher. Cette sainte horreur des abîmes du coeur. Les faibles ont cette facilité d'accuser les autres, de s'en prendre aux autres. Lâche.
Et son ecoeurement pour les siens. La famille est une chimère. Père, mère, fils, frère... Tout ça n'existe pas. On peut lui demander, il répondra qu'il est tombé du ciel, né par les oiseaux. Parce que des monstres comme il en a vu, ça ne peut pas être une famille. C'est la même chose que l'amour, des utopies destinées à tenir les gens debout. Les sentiments ancrés dans nos entrailles sont fictifs, le fruit de notre imagination, de notre besoin insatiable de croire en quelque chose de rassurant.


Dernière édition par Asano Ishii le Lun 9 Juin - 23:12, édité 1 fois
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Asano Ishii

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MessageSujet: Re: Asani Ishii   Asani Ishii Icon_minitimeLun 9 Juin - 1:31

Histoire [20 lignes minimum]:
Ishii, Asano. Né un 15 février. Mère: Gen Itô. Père: Kei Ishii.
Pas de sentiments lorsque l'on raconte son histoire. Juste une froideur sans nom, un détachement glacial.
Asano Ishii, né dans le centre de Tokyo. Enfant désiré ou non, le résultat est le même. Sa mère était aimante, au début. Son père n'était pas souvent là, mais qu'importe, il menait sa vie de petit garçon comme tout les autres. On fétait ses anniversaires avec les oncles, les tantes, les cousins. Il n'était pas couvert de cadeaux, mais il n'était pas malheureux. La petite maison dans laquelle ils vivaient était bien située, ses parents le laissait sortir dans le petit parc en bas de la rue, où il jouait avec d'autre enfants de son âge. Vers l'âge de cinq ans, il a cru son plus grand bonheur arrivé. Au début, ce n'était pas grand chose: maman était toute guillerette, papa rentrait un peu plus tôt de temps en temps. Ils avaient l'air amoureux comme au premier jour, fini les disputes occasionnelle, que de l'amour entre ces deux là. Et puis, il a commencé a avoir des soupçons, le petit Asano. Maman avait l'air de prendre un peu de poids. Papa rentrait vraiment plus tôt. Au bout de quelques mois, maman ne pouvait plus rentrer dans ses vétements et papa prenait réguliérement des jours de congés. Et lui, fou de bonheur, il criait à qui voulait (ou non) l'entendre, qu'il allait être grand frère. Qu'il était grand frère. On lui disait: '' dans deux mois, maman va avoir un autre bébé comme toi.''. Et les deux mois sont passés comme des secondes. Il était si impatient. Il savait que ce serait une fille, on lui avait dit. Il avait vu les photos aussi. Et maman est parti pour l'hôpital. Papa lui avait dit qu'elle partirait vite maintenant, et qu'on les ferraient venir dès que sa petite soeur serrait venue au monde. Il était si excitée que la nuit, au lieu de dormir, il préparait des cadeaux à cette petite soeur qu'il désirait tant. Chaque jour, à peine rentré de l'école, il s'asseyait à côté du téléphone et attendait. Attendait. Maman était à l'hôpital depuis quatre jours déjà. Et le cinquième soir, alors que personne n'avait appelé, papa est rentré pour l'emmener à l'hôpital. De toute la petite force de ses jambes d'enfant, il avait couru dans le couloir en pressant papa. Pourquoi allait-il aussi lentement?! Sa soeur les attendait avec impatience, il en était sur. Lorsqu'il a poussé la porte, il s'attendait à entendre un gazouillement, ou bien des pleurs. Quelque chose. Pas ce silence. Pas ce vide. Ce n'était pas ce calme comme lorsqu'on dort. Celui des endroits où il n'y a personne. La porte avait basculé dans un grincement qui le fait encore sursauter la nuit, dans ses cauchemars. Il avait juste vu sa mère, prostrée dans son lit. Tout petit, il sentait quand même que cette atmosphére n'était pas sensée être là dans la chambre d'un bébé. Il s'était avancé du landau presque en titubant. Il avait mis ses petites mains au bord et s'était grandi sur la pointe des pieds. Mais il savait déjà ce qu'il allait voir: rien. Un berceau vide. Un petit matelas ou aucune forme ne s'était jamais posée. Il avait tourné ses grand yeux noirs vers sa mère, et sa voix d'enfant avait tremblée:
« Maman.... Il est où le bébé?»
Plus qu'une réponse, le mutisme de cette femme qu'il ne reconnaissait plus l'avait effrayé. Il était tombé de ses petites jambes et avait commencé à sangloter. Elle n'avait rien dit. En fait, elle ne l'avait même pas regardé.
C'est surement à ce moment là que quelque chose s'était brisé. Lorsque sa mère était revenue de l'hôpital, elle avait conservé son silence pesant. Ils pensaient que ça allaient s'arranger. Tout a empiré. Elle prenait des médicaments, contre la depression. Et, lorsqu'il a fallu arrété, elle s'est montré incapable de relever la tête. Il avait dix ans. Et son père a perdu son travail. A force de s'occuper de cette mère incapable et de ce fils trop jeune, traumatisé. Elle est passé des médicaments à l'héroine. Elle ne ressemblait à rien, lorsqu'elle est morte. En fait, il ne la considérait plus comme sa mère depuis sa venu à l'hopital. On lui avait pris sa soeur et sa mère en même temps. Putain de dieu qui croit pouvoir tout nous reprendre. Elle était morte. Il croyait qu'enfin, la vie pourrait recommencer. Imbécile. La chose qui habitait le corps de sa mère avait emporté l'esprit de son père. N'ayant plus de travail, il s'était occupé de son fils. Mais au bout de plusieurs mois, il n'avait toujours pas retrouvé de travail. Et l'argent qu'il recevait lui servait à acheter à boire. Douze ans. Quand son père avait, pour la première fois, levé la main sur lui. Pas pour le punir. Pour le frapper. Il avait cogner pour cogner. Pour faire mal. Et il avait réussi. A l'école, il disait qu'il était tombé, si, par le plus grand des hasards, quelqu'un voyait ses bleus. Mais il avait compris. Son père était faible, sa mère était faible. Alors, il allait être fort. Douze ans. Quinze ans. L'ivrogne dormait dans le salon, avachi devant la télé. Et toute ces bouteilles vides qui jonchaient le sol. Ecoeurement. Une fois de trop, son père à porté la main sur lui. Pas de ceinture, pas de mains. Il lui avait lancé la bouteille à la figure. Aujourd'hui, il estime qu'il s'en est bien tiré. L'éclat de verre dans son oeil ne l'empéche pas de voir correctement. Sa ajoute une touche brillante dans le noir de ses yeux. Tout prendre à la légère. Le chirurgien qui l'avait opéré l'avait félicité en lui disant que c'était un garçon très courageux, très fort. Mèpris. Pour tout ces faibles. Quand il était rentré, son père n'avait pas bougé d'un pouce. Il n'avait peut-être même pas remarqué que son fils avait failli perdre la vue par sa faute. Tss. Fuir est une faiblesse. C'est l'unique raison qui l'empéchait de partir. Malgré le dégout, il refusait de se montrer faible. Tuer son père, c'était aussi être faible. Il voulait le voir agoniser, par sa seule faute. Alors il avait attendu. Jusqu'à ses dix-sept ans. Et un soir, son père avait rampé à ses pieds, quelque chose comme de la bave moussant dans sa bouche. Il l'avait supplié. Pour la première fois depuis presque dix ans, il l'avait appelé par son nom. De l'aide. Qu'il créve. Il s'était assis sur le canapé, son père rampant sur le sol, l'implorant d'appeller à l'aide. Il avait regardé Le Cinquième Element de Spielberg pendant que son père expirait sur le sol. Sourire aux lèvres. Lorsque le film avait fini, lorsque son père avait laché son dernier souffle, il s'était relevé, avait pris tout l'argent qu'il possédait encore, quelques affaires, et il était parti. Il avait quitté ce petit monde noir dans lequel il vivait depuis tout ce temps. En pleine nuit, il avait pris un hôtel. Quelques jours plus tard, il trouvait un appartement pas trop cher et de bonne qualité. La chance lui souriait. Un travail s'était présenté à lui. Vendeur dans un petit magasin. Il allait avoir dix-huit ans. Sa vie commencait à redevenir celle qu'il rêvait. Il avait découvert depuis ses septs ans que les garçons et les filles pouvaient faire chez lui le même effet. Il s'était entiché d'un jeune homme, amourette d'adolescent. Il le savait, il s'en foutait. Il voulait vivre comme n'importe qui. Ils vivaient tout les deux, ils étaient amants mais surtout les meilleurs amis du monde. Mais dans ce monde de loups où nous vivons, deux personnes du même sexe n'ont pas le droit de se fréquenter. Il se souvient encore du film qu'ils regardaient: Requiem For A Dream. Ils riaient des yeux bleus de Jared Leto, si pur qu'ils débattaient pour savoir s'ils étaient retouchés ou non. On avait tocqué à la porte. Rei avait insisté pour qu'il reste regarder le film, il savait combien le septième art était important pour lui. Il y avait eu un coup de feu. Il avait sursauté, croyant que le bruit venait du téléviseur. Et il avait vu le visage d'ange de son ami s'écraser au sol. Ce n'est que lorsque les yeux d'habitude si pétillants du jeune homme s'étaient éteints qu'il avait pris peur. La question qui le hante toujours, c'est pourquoi pas lui. Au lieu de lui tirer dessus, comme ils l'avaient fait pour Rei, comme il s'y attendait, les trois hommes s'étaient approchés, l'un avec une batte. Un coup sur la tête. Un autre dans le rein. La voix de Marlon Wayans lui parvient aux oreilles. Un coup de genou à la base de la nuque. Harry en train de hurler sur cette pauvre vieille pour cette satané télé. Du sang dans la bouche. Et cette douleur, partout. Il ne comprend toujours pas pourquoi c'est lui qui se réveille tout les matins. Mais il sait que c'est lui qui s'est réveillé quelques heures plus tard, que c'est lui qui avait rampé jusqu'à son ami, que c'est lui qui avait appelé les secours. Deux côtes cassée, un poumons perforé, une jambe en bouillie et une commotion cérébrale minime. Il s'en sortait bien. Rei avait agonisé pendant six heures, mais il était mort. Il était encore trop faible. Bien trop faible. Quand on l'avait autorisé à partir, il avait quitté la ville. Passé un an loin du monde. Une vieille femme avait accepté de le loger s'il l'aidait. Pendant un an, elle lui avait fait de bon petit plats, ils avaient eu des discussions. Ils étaient devenus amis, peut-être. Il le croit. Il avait besoin d'elle pour panser ses plaies, elle avait besoin de lui pour ne pas être envoyer dans une maison de retraites. Des abatoirs à croulants comme elle disait. Une mamie abandonnée par les siens et encore si vive. Elle était morte à deux jours de son propre anniversaire. Il l'avait enterrée derrière la maison de son fils, en cachette. Il savait que c'est ce qu'elle voulait. Il sourit à l'idée que ce fils ingrat construise une piscine et trouve le corps de sa mère. Il était revenu à Tokyo. S'était réinscrit dans un lycée, après avoir perdu deux ans de sa vie. Avait trouvé un job d'hôte. Maintenant, il a dix-neuf ans. Il se bat avec l'energie du desespoir pour ne pas être rattrapé par la vie. Qu'elle le laisse en paix maintenant, elle en a déjà bien assez fait.

Métier [pour les personnes de plus de 18 ans] ou année d’étude au lycée:
Hôte & dernière année de lycée

Appartenance à un club et/ou travail de nuit:
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En ce qui vous concerne


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MessageSujet: Re: Asani Ishii   Asani Ishii Icon_minitimeLun 9 Juin - 1:59

;ooo *o* <3
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MessageSujet: Re: Asani Ishii   Asani Ishii Icon_minitimeLun 9 Juin - 10:47

Très belle fiche!

Par contre tu dois envoyer le code à Take ou moi, si ce n'est pas déjà fait! Il le faut pour que tu sois validé!

Si tu n'as pas de kit je t'en propose trois:

Spoiler:

Voilà, elles sont vraiment pas top mais pour l'instant c'est tout ce que j'ai à te proposer!
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MessageSujet: Re: Asani Ishii   Asani Ishii Icon_minitimeLun 9 Juin - 20:23

Merci Very Happy
Mais ce n'était pas fini :s enfin pas tout à fait.
Merci pour les kits Very Happy
Et je vais chercher le code Razz
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MessageSujet: Re: Asani Ishii   Asani Ishii Icon_minitimeLun 9 Juin - 23:17

Tout est bon donc je te valide!

Tu es en classe A-4!
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MessageSujet: Re: Asani Ishii   Asani Ishii Icon_minitime

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